Philippe Barbeau, ill. de Marion Janin, Poisson soluble sept. 2010
Un coiffeur comme narrateur dans une ville, Beyrouth? , coupée en deux par la guerre, par la folie des hommes. Dans cette ville en paix, deux amis écoutent le joueur de oud, " l'un habite à l'est, l'autre à l'ouest, mais ils se sentaient frères" puis ils seront séparés par la guerre... "les pierres ont parfois des silences qui séparent".
Philippe Barbeau nous offre un texte poétique, envoûtant, poignant sur la guerre qui fait trembler les maisons du monde entier... Les illustrations sont toutes aussi poétiques, envoûtantes... Une vraie complicité existe entre les textes et les images
Très beau mais les enfants risquent de passer à coté
Je trouve ce livre très beau,au niveau du texte très poétique et aussi pour les illustrations sépia et les couleurs qui apparaissent par petites touches très fines... J'aime BEAUCOUP, mais va t-il trouver son public?
RépondreSupprimerMoi aussi, j'aime beaucoup ce livre, pour les mêmes raisons que Pascale, et aussi en raison du caractère universel et atemporel de l'histoire qu'il raconte... Mais je crains la même difficulté qu'avec "La cave aux oiseaux". Comment le faire rencontrer par des enfants? Danielle
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